Ce numéro, le septième, se fait l'écho des aspirations des gens du quartier: aménagement de la route de Tresques, du ch. de Lagaraud; implantation d'un vrai réseau pluvial pour limiter ou annihiler les risques d'inondations des secteurs les plus bas mais aussi de la rue Penchenier. 

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On aurait pu espérer qu'à la suite de ce débat public, où notre quartier a offert la plus forte participation de tous les quartiers, une réponse  publique soit donnée aux participants.

Il n'en est rien. Certains d'entre nous ont reçu, à titre individuel, un courrier expliquant que les ordres avaient été donnés aux services communaux concernés pour entreprendre les travaux demandés.

Or, certaines revendications représentent des millions d'euros.

C'est donc une fin de non-recevoir qu'oppose la municipalité. C'est pitoyable!

LES  Échos

                                                DE  LAGARAUD N° 7

      Nous ne voulons pas être des

       marionnettes.

       Nous prenons notre destin 

        en mains.

MEILLEURS  VOEUX

                                                         Association de quartier

                                                             "Valat de Lagaraud"

                                                           18, impasse Plantevin

                                                           Tel: 04.66.89.18.18

LES OBJECTIFS de L’ASSOCIATION,

                                    LES ATTENTES  DE  NOS CONCITOYENS :

Nous le répétons à chaque parution de ce bulletin, nos objectifs concernent principalement notre cadre de vie.

Mieux vivre dans le quartier, en toute sécurité.  Nous avons été 300 participants, au Centre Culturel, le 24 octobre dernier, à le dire à la municipalité. C’est la plus forte participation enregistrée par rapport à tous les autres quartiers.

Les sujets abordés, lors de cette réunion, rejoignent nos préoccupations :

·         sécurité des déplacements (route de Tresques, ch de Lagaraud)

·         aménagement du ch de Lagaraud pour permettre la cohabitation des automobilistes, des piétons, des cyclistes.

·         entretien et aménagement courant de la voirie : chaussée, trottoirs,

·         mise en place d’un vrai réseau d’évacuation des eaux pluviales pour prévenir les risques naturels (inondations) et canaliser les orages sous la chaussée et non dessus, comme actuellement.

D’ores et déjà, entretien du réseau existant.

·         etc…

LE CONTEXTE :

          Laissons dormir en paix, feu le maire Bouleau qui a dû gérer une situation exceptionnelle avec la construction de Marcoule.

D’ailleurs, c’est à partir des années 70 / 80 que le Valat a été urbanisé. Nous en avons bénéficié puisque nous y habitons. De même, nous alimentons les ressources de la commune avec nos impôts locaux.

          Mais la réelle mesure des besoins en infrastructures (réseau pluvial, etc …) n’a pas été envisagée et évaluée. On a laissé construire sans vision d’ensemble, sans vouloir en mesurer les conséquences.

Or, nous sommes au creux d’un bassin versant de x hectares. Nous ne pouvons laisser aller les choses à vau l’eau.

           Il est indispensable de bloquer toute imperméabilisation nouvelle du sol. Il est urgent de faire le point des investissements nécessaires. Il est indispensable de demander et recevoir, en urgence, l’aide des autres collectivités territoriales : le Département, la Région, etc.

              La mairie doit nous recevoir au cours du 1° trimestre 2002.

Gageons que nous étudierons les vrais problèmes.

DES ARTICLES DE PRESSE Éloquents :  

  (Lus dans « Midi-libre »)

·         Une région exposée aux orages violents :

·   Une prise de conscience :

· Une commune exsangue:

Allons au moins facile mais au plus direct et commençons par adresser nos remerciements à ceux qui nous ont fait naître ou ont accompagné nos premiers pas :

Plus sérieusement :

Nos remerciements vont aux militants des listes candidates  aux élections municipales qui nous ont reçus pendant la campagne.  Certains sont revenus ou arrivés aux « affaires », d’autres ont quitté la direction de la Cité. Toutes et tous nous ont écoutés attentivement. Qu’ils veuillent croire à  l’assurance de notre estime.

Nos remerciements vont ensuite à nous mêmes, c’est à dire :

·         les membres du Conseil d’ administration de l’association , qui ont accepté, sans demander ni recevoir de garantie de bon fonctionnement, de cautionner notre mouvement dés le 17 mai 2001.

·         la douzaine d’interlocuteurs de quartiers qui prêtent leur concours quand cela est nécessaire.

·         et, bien sûr, les 130 adhérents qui ont bien voulu nous apporter leur confiance et leur caution morale, sans lesquels notre association n’aurait pas lieu d’exister.

                                                            MERCI !